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Étude sur l’épandage aérien
Comme suite à la dérogation d’autorisation d’épandage aérien, GWAD’AIR a été chargé par l’ARS d’évaluer les niveaux en pesticides émis au niveau des populations résidant à proximité des cultures bananières.
Ainsi durant le mois de décembre, des mesures en phases particulaires et gazeuses, ont été effectuées à l’aide d’analyseurs automatiques au sein d’une habitation à Trois-Rivières.
Évaluation de la qualité de l’air dans les COM du Nord
Dans le cadre de notre PSQA, deux études portant sur l’évaluation de la qualité de l’air ont pu être réalisées sur les îles de Saint-Barthélemy et de Saint-Martin. Il s’agissait dans un premier temps d’établir l’état de la pollution atmosphérique dans ces zones en 2012 et de suivre l’évolution des polluants depuis les précédentes études réalisées en 2007.
Pour ce faire, deux techniques de mesures ont été utilisées :
L’installation du laboratoire mobile, équipé d’analyseurs automatiques, a permis d’assurer un suivi en continu de l’évolution des polluants atmosphériques tels que le monoxyde d’azote (NO), le dioxyde d’azote (NO2), le dioxyde de soufre (SO2), l’ozone (O3), et les particules fines de moins de 10 microns de diamètre (PM10).
Ce dispositif de surveillance a été complété par l’implantation de tubes à diffusion passive en dioxyde d’azote et en benzène sur différents sites des zones d’étude.
Comme le requièrent les directives européennes, GWAD’AIR a poursuivit les mesures des polluants suivants :
les Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP), en particulier le benzo(a)pyrène,
les métaux lourds à savoir le nickel, le cadmium, l’arsenic et le plomb,
et le benzène.
La surveillance actuelle (qui a débuté en 2011) consiste en une évaluation préliminaire d’une durée minimale de 3 ans pour l’ensemble de ces polluants à l’issue de laquelle un système de surveillance adéquat sera mis en place dans les zones les plus polluées.
