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LETTRE D'ACTUALITÉS                           Mars 2021
Espèces exotiques envahissantes outre-mer

 
 
Actualités de l'Initiative outre-mer
 
L’Initiative devient le « Réseau espèces exotiques envahissantes outre-mer » ! Découvrez la composition du Réseau !
 
Après 15 années d’existence, l’Initiative sur les espèces exotiques envahissantes en outre-mer est devenue en 2020 le « Réseau espèces exotiques envahissantes outre-mer ». Ce réseau désigne à la fois les membres qui le constituent et les projets mis en œuvre.

A la suite à sa mise à jour, le réseau compte plus d'une centaine d'experts et personnes ressources localisés en outre-mer et en métropole. Toutes les collectivités françaises d’outre-mer sont représentées au sein des membres, ainsi qu’une large gamme de domaines d’expertise.
 
L’équipe de coordination du Réseau EEE outre-mer est donc heureuse de mettre en œuvre sa nouvelle feuille de route 2021-2023 avec l’appui de l’ensemble de ses membres !

Accédez au détail de la composition du réseau
 
Publication de la synthèse de l’atelier EEE – Antilles françaises
 
Du 10 au 13 février 2020, le Comité français de l’UICN et ses partenaires organisaient un atelier de travail en Martinique sur les espèces exotiques envahissantes. Près de 80 experts et acteurs ont été réunis durant ces 4 jours pour mettre en évidence des priorités d’action, identifier les évolutions nécessaires et proposer des recommandations pour renforcer la sensibilisation, la prévention et la gestion des invasions biologiques.

Différents thèmes ont été traités :
  • les modalités d'organisation pour développer la surveillance et renforcer l’action;
  • les espèces exotiques envahissantes marines;
  • le traitement des déchets issus de la gestion des espèces exotiques;
  • les conflits d’intérêt, la perception et l'acceptation de la gestion;
  • la communication, la sensibilisation et la mobilisation sur les espèces exotiques envahissantes.
 
 
Lancement d'un cycle de formation en outre-mer
 
Dans le cadre de ses missions d’accompagnement de la montée en compétence des acteurs sur les espèces exotiques envahissantes, le Centre de ressources EEE lance, avec le Réseau sur les EEE en outre-mer, un cycle de formation dans les collectivités françaises d’outre-mer.

La première session se tiendra du 31 mai au 3 juin dans les Antilles françaises, à Saint-Martin, et sera accueillie par la Réserve naturelle nationale. Elle s’adresse aux professionnels de l’environnement des Antilles françaises et de la Guyane confrontés aux invasions biologiques : gestionnaires d’espaces naturels, agents des collectivités, des services de l’État et des établissements publics, chargés d’études au sein d’associations, de bureau d’étude ou d’entreprises.
 
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Actualités outre-mer
 
Polynésie française : Retour sur l’éradication du Bulbul à ventre rouge à Bora Bora
 
Fin 2020, la Société d’ornithologie de Polynésie  "Manu", a organisé une mission dans le but de confirmer le succès de l’éradication du Bulbul à ventre rouge (Pycnonotus cafer) à Bora Bora.

Depuis 6 ans, la population et les associations s’impliquent dans la gestion de cette espèce. Ces dernières visites ont confirmé le succès de l’opération puisqu’à ce jour, aucune observation de Bulbul à ventre rouge n’a été signalée.

Originiaire d'Asie, cet oiseau a été observé pour la première fois sur l'île en 2011. Insectivore et frugivore, il est à l’origine d’impacts négatifs sur l’agriculture en plus de représenter une menace pour les espèces indigènes avec lesquelles il peut être en compétition.
 
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Guyane : L’aquariophilie et la pisciculture, des sources d’introduction de poissons d’eau douce en Guyane française
 
La zone néotropicale est connue comme l’une des régions biogéographiques les moins impactées par les poissons allochtones. Cependant, les dernières observations témoignent d’une augmentation des invasions biologiques dans les cours d’eau, notamment en Guyane française. L’augmentation des activités récréatives et commerciales telles que l’aquariophilie et la pisciculture induites par l’accroissement démographique dans cette région a suscité des interrogations au sein de la communauté scientifique quant aux risques d’introductions associés.

Une étude a ainsi été menée dans l’objectif de faire un état des lieux des introductions de poissons dans les milieux aquatiques en Guyane et de connaitre la répartition des espèces non indigènes détectées sur le territoire.

L’étude a ainsi mis en évidence l’existence de neuf espèces introduites sur le territoire dont quatre établies. En revanche deux espèces détectées antérieurement à l’étude n’ont pas été retrouvées et seraient désormais absentes du territoire.
 
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Océan indien : Lancement du projet RECI : Restauration des écosystèmes insulaires de l’Océan Indien
 
Les Terres australes et antarctiques françaises ont organisé en fin d’année dernière, le premier comité de pilotage du projet RECI (Restauration des écosystèmes insulaires de l’Océan Indien). Ce projet vise à gérer les espèces exotiques envahissantes sur les îles Eparses (Tromelin, Glorieuses, Juan de Nova, Europa), les îles australes (Crozet, Kerguelen, Amsterdam) et l’îlot de M’Bouzi à Mayotte. En effet, sur ces îles faiblement ou non-habitées, les EEE constituent la principale cause d’érosion de la biodiversité.

Le projet s’inscrit dans le cadre du 11e Fonds européen de développement. Les TAAF mettront en œuvre le programme grâce à un partenariat avec l’association Les Naturalistes de Mayotte, et bénéficient de l’accompagnement et du soutien financier de l’Union européenne via les fonds délégués à l’Agence française de développement (AFD), et de la Préfecture de Mayotte.
 
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Nouvelle-Calédonie : Suivi et gestion du Bulbul entre Boulouparis et Tontouta
 
En partenariat avec la Province Sud et l’Institut agronomique néo-calédonien, le CEN de Nouvelle-Calédonie a organisé un suivi des foyers de bulbuls à ventre rouge visant à préciser la distribution et l’abondance de l’espèce entre Boulouparis et Tontouta, afin d’évaluer la faisabilité de la lutte, voire d’éradication locale, pour repousser le front d’invasion au sud de Tontouta.
 
La prospection réalisée par le prestataire durant 39 jours, sur 8 secteurs et 221 points a permis de cumuler 105 observations sur 44 points et d’évaluer à 50 le nombre d'individus distincts (entre 1 et 19 selon les secteurs) sur l’ensemble de la zone. Compte tenu des résultats, l’éradication des bulbuls sur les secteurs concernés semble réalisable et constituera la deuxième phase de la prestation.

Contact : Patrick Barrière et Laure-Line Lafille (CEN Nouvelle-Calédonie)
 
 
 
Saint-Pierre et Miquelon : Bilan 2020 du suivi des espèces exotiques envahissantes et bio-salissures marines
 
Plusieurs actions ont été menées en 2020 par la DTAM de Saint-Pierre et Miquelon sur les espèces non-indigènes marines.

Le Crabe vert (Carcinus maenas) détecté pour la première fois en 2013 à Saint-Pierre et Miquelon, fait chaque année l’objet de suivis. L’année dernière a été marquée par la détection de populations de crabes verts plus denses que les années précédentes, induisant une intensification des captures. Conjointement, un suivi du Crabe de roche (Cancer irroratus) a été effectué afin d’identifier un éventuel impact sur celui-ci.

L’herbier à zostères du Grand Etang a également fait l’objet d’une attention particulière car très soumis aux pressions exercées par les espèces non-indigènes. Ces herbiers abritent de nombreuses espèces, constituent des zones de fraie et permettent le maintien de la qualité de l’eau. Les enjeux de préservation sont donc forts et un suivi spécifique de cet herbier est prévu en 2021.

Contact : Daniel Koelsch et Frank Urtizberea (DTAM)

Pour en savoir plus : Accédez au rapport de la DTAM et à l’article dédié à la problématique du Crabe vert à Saint-Pierre et Miquelon sur le site internet du Centre de ressources EEE.
 
Guadeloupe et Martinique : Les dépliants sur la réglementation des EEE sont disponibles !
 
L’OFB, en lien avec le Ministère de la transition écologique et les DEAL, a élaboré des brochures d’information sur la réglementation ciblant les EEE pour la Guadeloupe et la Martinique. Pour chacun de ces deux territoires, trois brochures ont été conçues à destination :
- des particuliers, des associations et des collectivités;
- des établissements de recherche et de conservation;
- des établissements à vocation commerciales.
 
Ces brochures illustrées rappellent les enjeux des EEE et les nouvelles obligations réglementaires concernant ces espèces et précisent la liste des espèces animales et végétales interdites de toutes activités conformément aux arrêtés ministériels respectifs.
D’autres brochures paraîtront également pour la Guyane, Saint-Martin, Mayotte et La Réunion.
 
 
Saint-Martin : Parution des deux arrêtés relatifs aux espèces exotiques envahissantes animales et végétales interdisant toutes activités sur les spécimens vivants
 
Ces deux arrêtés du 30 novembre 2020 ont été publiés au journal officiel et renforcent ceux du 20 octobre 2020 relatifs à la prévention de l’introduction et de la propagation des EEE sur le territoire de Saint-Martin.

A Saint-Martin, sont désormais interdits, pour les espèces animales et végétales listées en annexe de chacun des deux arrêtés, l’introduction sur le territoire, le transit sous surveillance douanière, l’introduction dans le milieu naturel, la détention, le colportage, l’utilisation, l’échange, la mise en vente et l’achat de spécimens vivants.

Cette nouvelle règlementation concerne ainsi les commerçants, les particuliers et les établissements de recherche et de conservation qui sont donc amenés à modifier leurs pratiques.

Accédez à l'arrêté relatif à la flore
Accédez à l'arrêté relatif à la faune
 
 
Saint-Barthélemy : Problématique des chats harets
 
L’Agence territoriale de l’environnement revient sur son entretien avec Miguel Soussainjean venu de Guadeloupe pour travailler en tant que conseiller sur la problématique des chats harets à Saint-Barthélemy.
Miguel Soussainjean est notamment directeur et formateur pour la société Domaine Canin, membre de la commission protection animale à la préfecture de Guadeloupe. A l’occasion de cette interview, il explique les enjeux écologiques et sanitaires liés à la prolifération des chats sur l’île, effectue un rappel des bonnes pratiques pour les détenteurs d’animaux domestiques et propose des mesures de gestion pour Saint-Barthélemy.

Contact : Karl Questel (ATE-Saint-Barthélemy)
 
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Guadeloupe et Martinique : Histoire de la petite mangouste indienne Urva auropunctata (Hodgson, 1836) dans les Antilles
 
La Petite mangouste indienne a été introduite dans les « îles à sucre » des Antilles entre 1870 et 1900 par les planteurs dans le but de lutter contre les rats et les serpents. L’espèce fait maintenant partie des écosystèmes et des agrosystèmes d’un nombre important d’îles. La présence de ce prédateur introduit a eu des conséquences importantes sur les densités de nombreuses espèces indigènes, ayant pu contribuer à l’extinction de certaines d’entre elles.

L’article d'Olivier Lorvelec, Tristan Yvon et Arnaud Lenobre revisite l'histoire des introductions de mangoustes à Trinidad, en Jamaïque et dans les Antilles françaises, à la lecture des documents historiques disponibles. Certaines dates d’introductions sont corrigées ou précisées.
 
 
A la rencontre de Chloé Bernet : Chargée d’étude dans une association de protection de l’environnement
 
Chloé Bernet a rejoint le Réseau espèces exotiques envahissantes outre-mer et a répondu à nos questions.
 
1) Pouvez-vous vous présenter et nous dire quelques mots sur l'association Nature Océan Indien ?
 
Ayant grandi à La Réunion, je me considère comme réunionnaise, bien qu’originaire de métropole : je suis très attachée à cette île, à sa culture, sa population et son incroyable biodiversité. J’ai fait toutes mes études à l’Université de La Réunion où j’ai obtenu mon Master Biodiversité et EcoSystèmes Tropicaux Terrestres (BEST-T). C’est quelques années plus tard que j’ai pu rejoindre l’association Nature Océan Indien (NOI), en tant que chargée d’étude pour la lutte contre les EEE animales.
 
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Actualité du Centre de ressources EEE
 
Le rapport d’activité 2020 du Centre de ressources EEE est disponible !
 
Malgré le contexte sanitaire, le CDR EEE a su rester actif en 2020. La réunion délocalisée du REST à Bordeaux et la toute première session de formation sur les espèces non-indigènes marines à Sète ont été des moments forts pour le réseau. Au-delà des productions régulières (retours d’expériences de gestion, alertes, lettres d’information), 2020 a également permis de construire un nouveau cadre de travail ambitieux pour la période 2021-2024.

Le rapport est disponible sur le site internet du CDR EEE et rassemble les informations sur les activités développées en 2020.

Téléchargez le rapport
 
Actualités internationales
 
Les régions polaires et alpines face au réchauffement climatique et aux EEE
 
À l'échelle du globe, les environnements froids sont les plus touchés par le changement climatique, qui favorise notamment leur colonisation par des EEE.
Cependant, l'étendue et les impacts des changements d'aires de répartition des espèces liés au climat, et des invasions biologiques, ont été moins étudiés dans les écosystèmes froids que dans les régions tempérées, en raison notamment de leur difficulté d'accès. C’est pourquoi, un consortium scientifique coordonné à Rennes va intensifier l'étude de ces milieux en évolution rapide. Objectifs : mieux comprendre les réactions des populations animales et végétales face à ces perturbations d'origine humaine, et proposer des stratégies pour atténuer leurs impacts.

Le projet international interdisciplinaire ASICS, financé par le réseau européen Biodiversa (Horizon 2020 ERA-NET) et porté par David Renault, travaillera sur des séries chronologiques à long terme qui amélioreront considérablement l’évaluation de la dynamique de l'aire de répartition des espèces.
 
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LIFE Stop Cortaderia : déploiement d'une stratégie transnationale
 
L’Herbe de la Pampa (Cortaderia selloana) est une plante exotique envahissante originaire d’Amérique du Sud, qui colonise les côtes atlantiques et méditerranéennes. En plus d'être facteur de perte de biodiversité dans les milieux qu’elle colonise, sa gestion engendre des coûts importants et son pollen allergisant constitue un problème de santé publique.

Débuté au Portugal et en Espagne, le programme européen LIFE Stop Cortaderia propose la mise en place d'une stratégie transnationale ayant pour objectif de limiter la prolifération de l’espèce. Les acteurs français sont ainsi appelés à adhérer à cette stratégie, pour contribuer aux efforts collectifs et enrayer le développement de cette EEE. Un KIT Stop Cortaderia contenant un manuel de bonnes pratiques et le projet de stratégie transnationale sont disponibles en français sur le site du programme.
 
L'Herbe de la Pampa est envahissantes à La Réunion et fait l'objet de mesures de gestion. 
 
 
Dernières publications et rapports
 
 
Blanvillain, C. et al. (2021). Screening of diseases in wild exotic birds on Tahiti Island – implications for French Polynesian conservation. Pac. Conserv. Biol. (lien).

Brosse, S. et al. (2021). Aquarium trade and fish farms as a source of non-native freshwater fish introductions in French Guiana. Ann. Limnol. - Int. J. Lim. 57, 4. (lien)

Delnatte, C., Tepie Potiron, C. & Rateau, F. (2021) Détection précoce et lutte rapide contre la plante aquatique exotique Hydrilla verticillata (L.f.) Royle en Martinique. Naturae. (lien)

Gerlach, J. et al. (2021). Negative impacts of invasive predators used as biological control agents against the pest snail Lissachatina fulica: the snail Euglandina ‘rosea’ and the flatworm Platydemus manokwari. Biol Invasions 23, 997–1031.  (lien)

Larrue, S. et al. Seed Rain, Dispersal Distance, and Germination of the Invasive Tree Spathodea campanulata on the Island of Tahiti, French Polynesia (South Pacific). pasc 74, 405–417 (2021). (lien)
 
DIREN de Polynésie française (2020). Gestion des espèces menaçant la biodiversité terrestre en Polynésie-française 2013-2019, 16 pages. (lien)
 
DTAM de Saint-Pierre et Miquelon (2021). Suivi des espèces envahissantes et bio-salissures marines à Saint-Pierre et Miquelon (Année 2020), 15 pages. (lien)
 
GEIM (2021). Bilan des actions de la stratégie mahoraise de lutte contre les plantes envahissantes en 2019 – 2020, 24 pages. (lien)
 
OFB (2021). Brochures d’information sur la réglementation ciblant les EEE pour la Guadeloupe et la Martinique (lien)
 
SPREP-PROE (2021). State of environment and conservation in the Pacific Islands: 2020 regional report, 158 pages (lien)
Découvrez en complément les sessions de la 10ème Conférence des îles du Pacifiques sur la Conservation de la nature et les aires protégées (lien)
 
UICN Comité français (2021). Synthèse de l'atelier espèces exotiques envahissantes - Antilles françaises, 38 pages (lien)
 
Lettre d’information N°28 du réseau de prévention, de surveillance et de lutte contre les EEE de Polynésie française (lien)
 
Newsletter de l’Agence Territoriale de l’Environnement de Saint-Barthélemy n°11 – janvier 2021 (lien)
 
8ème lettre d’actualités du Groupe espèces invasives de la Réunion (lien)
 
Lettre d’information du Centre de ressources espèces exotiques envahissantes janvier/février 2021 (lien)
 
 
 

Réalisation et conception : Clara Singh, Comité français de l'UICN

Ont contribué à la réalisation de ce numéro :


Le Réseau de prévention, de surveillance et de lutte contre les espèces envahissantes de Polynésie française, Sébastien Brosse (Laboratoire EDB), Patrick Barrière et Laure-Line Lafille (CEN Nouvelle-Calédonie), Frank Urtizberea, ATE Saint-Barthélemy, Groupe espèces invasives de La Réunion, Karl Questel (Agence territoriale de Saint-Barthélemy), Chloé Bernet (NOI), David Renault (Université de Rennes 1), Caroline Blanvillain (SOP-MANU), Jean-Yves Meyer (Délégation à la Recherche de la Polynésie française), Marie Foudrigniez (BioConsulting), Emmanuelle Sarat, Madeleine Freudenreich et Yohann Soubeyran (Comité français de l'UICN)


Crédits Photo : 
 
Bandeau (Comité français de l'UICN), Atelier EEE Antilles françaises (Emmanuelle), Synthèse des ateliers (Comité français de l'UICN), Pycnonotus cafer (T.Ghestemme), Fleuve Oyapock (CC BY 2.5), Comité de pilotage projet RECI (RECI), Pycnonotus cafer (Licence Pixabay), Herbier à zostères (DTAM), Dépliant sur la réglementation des EEE en Guadeloupe (OFB), Antigonon leptopus (C.Delnatte), Chat haret (ATE Saint-Barthélemy), Portrait Chloé Bernet (NOI), Rapport d'activité (CDR EEE), Cortaderia selloana (F.Beck)
 
 
 
 
 
 
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